LE SPORT

Le sport a toujours été une contrainte pour moi quand j'étais enfant. Il m'arrivait souvent de trouver des excuses pour ne pas assister au cours de gymnastique à l'école. Il est probable que cela soit dû au fait que je me trouvais rachitique. Je ne sortais pas avec mes frères, qui, par contre, étaient toujours dehors à jouer. Je préférais bricoler à la maison. C'est vers la trentaine que j'ai commencé à m'intéresser au sport avec ma nouvelle compagne. Le sport occupait une place primordiale dans leur vie, elle, ses frères et leur père.
Pour commencer, nous allions tous les dimanches à la piscine à vagues de Saint-Chamond (42). Nous y passions la journée entière, puisqu’il y avait une cafétéria et une salle de remise en forme. Après quelques années, il est évident que j'ai réussi à devenir un bon nageur.
Le ski, c'était pareil. Je n'avais aucune notion, j'étais vraiment ridicule. Par contre, une fois de plus, ma compagne était née avec des skis au pied. Cependant, le snowboard a fait son apparition à cette époque. Là, nous étions tous au même niveau. Les appuis sont diffèrent de ceux que l'on ressent lorsqu'on fait du ski. On progresse un peu trop vite, ce qui signifie que l'on prend davantage de risque et les chutes sont terribles. Ma spécialité est le snow alpin, la vitesse, de grandes courbes et des sauts en longueur.
Depuis toujours, j'ai eu le désir de pratiquer le cheval. L'opportunité s'est présentée quand un centre est monté juste en face de mon lieu de travail. J’avais la quarantaine. Pendant neuf mois, en suivant deux cours par semaine, j'ai perfectionné mes compétences en équitation, jusqu'à ce que je puisse me procurer un cheval. Eliot, un trotteur hongre âgé de 4 ans, mesurait 1m65 au garrot, portait une robe or/alezane, une liste blanche et des balzanes sur les postérieurs. J'ai eu la chance de vivre des expériences incroyables avec Eliot.
J'ai atteint le niveau 1 de plongée en Guadeloupe en 1997. Mon objectif était de comprendre toutes les règles de sécurité afin de devenir autonome. Ma priorité n'était pas de réaliser des performances en profondeur, mais de descendre en toute confiance entre 5 et 10 mètres et de me divertir en survolant l'univers aquatique.
Dans la même lignée, j'ai décidé de survoler le monde terrestre en 2006, et j'ai réussi mon brevet de pilote de vol libre (parapente) dans le Puy-de-Dôme. Pour ce faire, il a fallu acquérir des connaissances, non seulement sur le matériel et la technique de vol, mais également sur l'aérologie, la météorologie, ce qui n'était pas pour me déplaire.

Si vous souhaitez en savoir plus sur mes aventures, je vous invite à consulter ma biographie.      Retour à l'acceuil