SYNTHESE

Reprenons dans l’ordre, les constats et interrogations qui émanent de l’observation du monde qui nous entoure.

LA MATIERE DIT « INERTE ».

Nous avons vu qu’une particule pouvait être amené se modifier spontanément et avoir une corrélation instantanée sur une autre particule intriquée quel que soit la distance.
Se pourrait-il que le monde de l’atome et de l’électron soit imprégné d’une dimension psychique (un pouvoir décisionnel) immatérielle et invisible, capable d’interférer avec la matière tangible ? Elle échapperait aux lois usuelles de la matière et des contraintes de l’espace-temps, ignorant totalement les distances.

LA MATIERE VIVANTE.

La question était, comment les atomes se sont-ils agencés pour constituer, dans un premier temps, des molécules complexes ; puis en diverses cellules organiques fondamentales ; puis de s’assembler en individu structuré ; et de recevoir finalement l’impulsion nécessaire pour qu’il s’anime ? La vie est-elle vraiment la suite d’un enchainement d’évènements discutable, aussi incertain, dans un milieu hostile ? L’entropie nous enseigne que, tous ce qui nous entoure se dégradent dans la mesure où il n’y a aucun échange avec un environnement extérieur. Sans remettre en cause la genèse des choses, n’aurait-elle profité d’une aide ou d’une force externe au système pour qu’il en soit ainsi ? Un environnement extérieur doué d’une certaine intelligence vu l’extrême complexité des résultats. Existerait-il là aussi, un psychisme, une ou des consciences externes qui influent la matière, qui déterminent l’évolution des choses ?

L’ENERGIE.

L’énergie ne se crée pas, ne se perd pas, elle se transforme. Les équilibres, que ce soit au niveau climatique de notre planète ou de la thermorégulation de corps humain, sont impressionnants. La célèbre formule E=MC² démontre la relation étroite qu’il y a entre la matière et l’énergie. Peut-on conclure que le psychisme ou ce pouvoir décisionnel, qui influe la matière, pourrait avoir un vraisemblable contrôle des énergies ?
Le cerveau conscient serait-il qu’un dispositif physique de réaction électrochimique générant un potentiel d’action, d’influx nerveux et de neurotransmetteurs, d’où se manifesterait une dimension psychique constituant notre conscience intuitive extraneuronale ?

LES FONCTIONS CEREBRALES.

Comment peut-on expliquer l’apparition des fonctions cérébrales du raisonnement, des émotions, de la mémoire, de l’instinct ? Comment un être vivant, qui de base, ignore tout de l’existence de ses facultés, a-t-il pu les imaginés, les inventés, les concevoir ?
Le principe élémentaire, qu’avec rien l’on ne fait rien, suppose que si une chose existe, elle a toujours existé. Ces facultés existeraient-elles depuis toujours mais sous des formes qui nous échappes ?

LE SPIRITUEL.

Des temps les plus reculée jusqu'à notre époque, de l’endroit le plus isolé et sauvage de la planète à la cité ultramoderne, de l’homo-sapiens à l’astrophysicien, la religion occupe une place prépondérante. D’où vient ce besoin de communiquer avec l’au-delà ?
Parmi les millions d’individus qui prétendent avoir eu une expérience de mort imminente, il y a sans aucun doute des personnes crédibles en qui nous pouvons avoir confiance. Pouvons-nous ignorer leurs témoignages ?

CONCLUSION.

Je vous laisse le soin de la tirer.
Cependant, s’il existe réellement une ou des consciences, un psychisme à l’image de nos ressentis, cela pose de nouveau pas mal de questions :
  Son influence est-elle à sens unique ?
  Ne devrait-on pas pouvoir communiquer avec elle ?
  Existe-t-elle sous une forme universelle, individuelle ou les deux à la fois ?
  Serait-ce un monde spirituel parallèle étroitement lié à chaque entité matérielle, ou pas ?

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